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Processus SEO compréhensible même pour les débutants|7 étapes de l’enregistrement du domaine à l’amélioration du classement

本文作者:Don jiang

Vous venez de créer un site web ou envisagez d’en créer un, et vous souhaitez que davantage de personnes vous trouvent via les moteurs de recherche ?

Le SEO (optimisation pour les moteurs de recherche) peut sembler compliqué, mais en suivant les bonnes étapes, ce n’est pas si mystérieux.

Aujourd’hui, nous allons vous présenter un processus simple et clair en 7 étapes, qui vous guide pas à pas depuis l’enregistrement du nom de domaine jusqu’à l’amélioration du classement de votre site web. Le tout est aussi clair que de construire avec des blocs.

Processus SEO facile à comprendre

Table of Contens

Comment choisir un bon nom de domaine ?

Un excellent nom de domaine repose sur trois éléments clés :

  1. Il doit représenter clairement le cœur de votre site (thème / marque)
  2. Il doit être simple et facile à retenir (les utilisateurs peuvent facilement le prononcer et l’épeler correctement)
  3. Il doit être pratique et digne de confiance (choisissez une extension familière)

Une fois cet objectif clair, passons étape par étape à la manière de procéder concrètement.

Les trois éléments clés pour nommer : clarté, mémorabilité, confiance

Mot-clé + marque = expression claire du cœur

Objectif : En voyant le nom de domaine, on doit pouvoir deviner à quoi sert le site ou à quelle marque il appartient. Cela réduit considérablement la barrière de compréhension pour les utilisateurs et facilite le positionnement initial par les moteurs de recherche.

Comment faire ?

Intégrer des mots-clés essentiels : Si vous vendez des gâteaux faits main, handmadecakes.com est plus direct que sweetthings.com (qui est trop vague). Vous avez un studio de yoga local ? beijingyoga.com ou sunnyyogastudio.com conviennent très bien.

Utiliser le nom de marque (priorité absolue) : Si vous avez un nom de marque clair (comme « Xiao Zhang Kitchen »), utiliser directement xiaozhangkitchen.com est la meilleure option pour renforcer la reconnaissance de la marque.

Idée de combinaison : Associez le nom de marque avec le mot-clé principal. Par exemple, si votre marque est « Maple » et votre activité est le voyage, mapletravels.com est un bon choix.

Prudence :

  • Évitez les mots complètement hors contexte (comme best456web.com).
  • Méfiez-vous des abréviations obscures.
  • Ne sacrifiez pas la clarté pour la créativité excessive.

Facile à lire, à épeler, à retenir – facilite la diffusion par les utilisateurs

Objectif : Les utilisateurs doivent pouvoir prononcer correctement, épeler juste du premier coup et retenir après une seule écoute.

Comment ?

Simplifiez l’orthographe : Préférez des mots anglais courants, du pinyin ou des combinaisons simples. bakehouse.com est bien mieux que theexquisiteboulangerie.com.

Longueur appropriée : L’idéal est entre 6 et 14 caractères. Trop court (<5) peut être déjà pris ou ambigu, trop long (>15) est difficile à retenir et à taper.

Prononciation claire : Lisez le nom à voix haute plusieurs fois ! Évitez les combinaisons de lettres confuses (comme xzl vs xsl) ou les noms difficiles à prononcer.

Évitez les chiffres et les traits d’union : best4you.com ou best-for-you.com peuvent induire en erreur — est-ce le chiffre « 4 » ou le mot « for » ? Ou le trait d’union est oublié. Privilégiez les lettres uniquement (de préférence) ou les chiffres uniquement (sauf pour des marques spéciales comme 360).

  • Astuce de test : Donnez vos noms de domaine potentiels à quelques amis et voyez s’ils peuvent les épeler correctement et les répéter. Les noms qui posent problème doivent être abandonnés.

Choisissez des extensions courantes – base de la confiance

Objectif : Utiliser des extensions de domaine que les utilisateurs et les moteurs de recherche connaissent et en qui ils ont confiance, pour une image professionnelle.

Priorités (fortement recommandées) :

  1. .com : L’extension la plus universelle, la plus reconnue et la plus digne de confiance dans le monde. Si votre audience cible est mondiale ou internationale, .com est le premier choix. Sa position est difficile à déloger à court terme.
  2. .cn / .com.cn : Si vous ciblez spécifiquement le marché chinois, ces extensions sont les meilleures options. Très utilisées par les gouvernements, entreprises et services locaux, elles sont bien acceptées par les utilisateurs.
  3. .net : Traditionnellement utilisée par les sites liés aux technologies réseau, elle constitue aussi une bonne alternative au .com quand celui-ci est indisponible.

Considérations sur les nouveaux domaines de premier niveau : .site, .shop, .app, .blog, .io (prisés par les entreprises technologiques) deviennent de plus en plus populaires.

Avantages : Parfois, on peut enregistrer un nom que l’on désirait mais qui est déjà pris en .com.

Inconvénients : La notoriété et la confiance du public sont toujours bien inférieures à celles des .com/.cn. Les utilisateurs risquent de ne pas se souvenir si votre extension est .shop ou .store.

Conseil pratique pour les débutants :

Préférez toujours .com. Si le .com est déjà pris :

Essayez de trouver un .cn adapté (pour le marché chinois).

Puis envisagez un .net.

Si vous souhaitez vraiment utiliser un nouveau domaine de premier niveau, assurez-vous que le nom soit extrêmement simple et facile à retenir, et lors de la promotion en ligne ou hors ligne, mentionnez toujours le nom de domaine complet (avec l’extension).

Évitez les extensions trop exotiques ou étranges (comme .pizza, .guru), sauf si c’est pour un cercle très spécifique ou un projet extrêmement créatif, sinon cela peut paraître peu professionnel.

Où s’inscrire de manière fiable ?

Choisissez une grande plateforme reconnue : fiabilité, sécurité et support client sont essentiels. Recommandations courantes, nationales et internationales :

  • Recommandé en Chine : Alibaba Cloud (Wanwang), Tencent Cloud, Huawei Cloud. Interface en chinois conviviale, paiement facile (Alipay/WeChat), support client local efficace.
  • International : Namesilo, GoDaddy, Namecheap. Parfois des prix avantageux, et un choix plus flexible de domaines.
  • Important : Choisissez un registraire certifié ICANN pour garantir la légitimité.

Processus (exemple avec une plateforme chinoise) :

  • Connectez-vous au site du registraire.
  • Saisissez le nom de domaine souhaité (avec extension, par ex. xiaozhangfood.com).
  • La plateforme indique si le domaine est disponible. Si non, elle propose des alternatives ou des extensions proches.
  • Si disponible, ajoutez au panier.
  • Avant de payer, vérifiez bien deux points :
    • Informations du titulaire (Whois) : Remplissez avec des données réelles et valides (nom, email, téléphone). Ces informations déterminent la propriété du domaine et ont une importance légale. Des infos erronées ou invalides peuvent entraîner le blocage ou la suppression du domaine !
    • Service de protection de la vie privée (Whois Privacy) : Fortement recommandé ! Avec ce service, les tiers ne voient pas vos données personnelles réelles lors d’une recherche Whois, mais celles du registraire. Cela évite le spam et les arnaques. Généralement disponible lors du paiement, parfois offert la première année.
  • Choisissez la durée d’enregistrement (débutants : au moins 1 an, recommandé : 2–3 ans ou plus). Puis effectuez le paiement.

À faire avant et après l’enregistrement

Avant de commander : vérifiez plusieurs fois l’orthographe ! Saisissez correctement dans la barre de recherche et vérifiez aussi sur la page de paiement. Une fois validé, impossible de modifier ! microsofp.com et microsoft.com sont deux noms très différents.

Durée d’enregistrement : optez pour une longue durée !

  • Signe de confiance : Les moteurs de recherche font davantage confiance aux domaines enregistrés sur le long terme, ils supposent que le site est durable (un petit avantage mais durable).
  • Évitez d’oublier : Programmez un rappel de l’échéance ! En cas de non-renouvellement, le domaine entre en période de rachat coûteuse ou est supprimé, pouvant être repris par d’autres — un gros risque. Acheter plusieurs années réduit ce risque.

Activez la protection de la vie privée ! Protégez vos données personnelles, évitez les spams, c’est très important. Ne soyez pas radin là-dessus.

Configurez la résolution DNS : Après enregistrement, dans l’interface de gestion, pointez votre domaine vers l’adresse IP de votre hébergement (dans “Gestion de domaine” ou “Paramètres DNS”). Cette étape est nécessaire pour que le site soit accessible (après avoir choisi un hébergement).

Créez votre site rapidement : Un domaine laissé vide trop longtemps nuit au référencement. Dès que vous avez votre domaine, lancez les étapes suivantes rapidement !

Choisissez le bon « espace » pour votre site web​

L’espace web (aussi appelé hébergement, serveur ou hébergement virtuel)​,

en termes simples, c’est l’endroit où tous les fichiers de votre site web (texte, images, codes, programmes) sont stockés.

Le choix impacte directement les performances de votre site :

  1. ​Vitesse d’accès :​​ Est-ce que votre page s’ouvre en un clin d’œil ou vos visiteurs attendent au point de vouloir fermer ?
  2. ​Stabilité et fiabilité :​​ Votre site est-il souvent inaccessible (ce qu’on appelle les « pannes ») ?
  3. ​Sécurité :​​ Résiste-t-il aux attaques courantes ? Les données risquent-elles d’être perdues ?
  4. ​Développement futur :​​ Si le trafic de votre site augmente doucement, est-ce que ce « chez-vous » peut s’agrandir (mise à niveau) ?

Notre objectif est clair : dépenser un budget raisonnable pour trouver un hébergeur ​​rapide, stable et suffisamment sécurisé​​.

Types d’hébergement : quel « type de logement » convient le mieux aux débutants ?​

Ne vous laissez pas embrouiller par les termes techniques ! Pour commencer, comprendre ces types principaux suffit :

​Hébergement mutualisé (Shared Hosting – recommandé aux débutants !)​

​Principe :​​ Un grand serveur est divisé en plusieurs petits espaces loués à différents sites web (comme un immeuble avec plusieurs appartements).

​Avantages :​

​Très rentable :​​ Le prix le plus bas, idéal pour les débutants avec un petit budget et un trafic limité (blogs, sites vitrine, petites boutiques en ligne).

​Gestion simplifiée :​​ La maintenance serveur, les mises à jour de sécurité et le support matériel sont pris en charge par l’hébergeur. Vous n’avez qu’à gérer vos propres fichiers. Souvent accompagné d’un panneau de contrôle graphique (comme cPanel ou Baota) pour faciliter l’utilisation.

​Inconvénients :​

​Ressources limitées :​​ CPU, mémoire et bande passante sont partagés. Si un « voisin » a un pic de trafic ou utilise beaucoup de ressources, cela peut ralentir votre site (appelé « effet voisin »).

​Peu personnalisable :​​ Certaines configurations serveurs ou installations de logiciels peuvent être limitées.

​Recommandé aux débutants :​​ ​​Le meilleur choix pour la plupart des nouveaux sites !​​ Choisissez un hébergeur fiable, avec du matériel moderne et une gestion stricte pour réduire l’effet voisin.

​Serveur privé virtuel (Virtual Private Server – VPS)​

​Principe :​​ Un serveur physique puissant est virtualisé en plusieurs serveurs virtuels indépendants. Chaque VPS dispose de ressources ​​exclusives​​ (CPU, mémoire, disque, bande passante).

​Avantages :​

​Meilleure performance et stabilité :​​ Pas d’impact des voisins, vitesse plus constante.

​Contrôle accru :​​ Comme avoir son propre serveur, avec la liberté d’installer des logiciels et configurer l’environnement, adapté aux besoins techniques spécifiques.

​Montée en charge flexible :​​ CPU, mémoire ou stockage peuvent être augmentés séparément si besoin.

​Inconvénients :​

​Plus cher :​​ Coûte plus cher que l’hébergement mutualisé.

​Connaissances techniques nécessaires :​​ Vous devez généralement gérer et maintenir le serveur vous-même (sécurité, mises à jour…). Malgré un panneau de contrôle, c’est plus complexe que le mutualisé.

​Convient à :​​ Sites avec trafic en croissance (plusieurs milliers de visites par jour), besoins en performances ou personnalisation, ou si vous avez des compétences en gestion serveur. Pour les non-initiés, il existe aussi des VPS « gérés » moyennant un coût supplémentaire.

​Hébergement cloud / serveur cloud (Cloud Server – tendance principale)​

​Principe :​​ Basé sur le cloud computing, constitué d’un grand nombre de serveurs physiques formant un pool de ressources. Les « serveurs cloud » fonctionnent dans ce cluster, avec une allocation et une montée en charge dynamique des ressources.

​Avantages :​

​Excellente évolutivité :​​ Les ressources (CPU, mémoire, bande passante) peuvent être augmentées en temps réel selon les besoins, idéal pour les sites avec trafic fluctuant ou croissance rapide.

​Fiabilité élevée :​​ Risque faible de panne unique, centres de données souvent multi-nœuds avec sauvegardes, très stable.

​Mode de paiement flexible :​​ Facturation à l’heure ou au mois, payez ce que vous utilisez.

​Inconvénients :​

​Configuration complexe :​​ Il faut configurer soi-même groupes de sécurité, réseau, disques, etc., ce qui est plus difficile pour les débutants que le mutualisé ou certains VPS.

​Coûts difficiles à estimer :​​ Sans bonne prévision des ressources ou du trafic, la facture peut dépasser les attentes.

​Coût :​​ À configuration égale, souvent plus cher ou équivalent à un VPS géré.

​Convient à :​​ Grandes entreprises, sites e-commerce à fort trafic ou croissance rapide, environnements de développement/test, sites recherchant une haute disponibilité. ECS d’Alibaba Cloud, Tencent Cloud, Huawei Cloud sont des exemples typiques.

​Serveur dédié (Dedicated Server)​

​Principe :​​ Vous avez un serveur physique complet pour vous seul. Toutes les ressources sont à vous, performance maximale.

​Avantages :​​ Performance extrême, contrôle total, sécurité élevée.

​Inconvénients :​​ Très coûteux, nécessite une équipe de gestion serveur professionnelle, maintenance matérielle à votre charge.

​Convient à :​​ Très grands sites, secteurs spécialisés (finance, jeux), cas demandant une sécurité ou performance extrême. Peu pertinent pour les débutants.

Critères clés pour choisir un hébergement : vitesse, stabilité, sécurité​

​La vitesse estle facteur le plus important​
Pourquoi c’est important ? Les utilisateurs quittent la page si elle ne s’ouvre pas en quelques secondes ! La vitesse de la page est également un critère clé pour le classement dans les moteurs de recherche.

Comment choisir :

  • Emplacement du serveur ! Choisissez impérativement un centre de données proche géographiquement de vos principaux utilisateurs ! Les utilisateurs en Chine continentale auront forcément un accès lent aux serveurs étrangers. Si votre cible principale est la Chine continentale, achetez chez des hébergeurs nationaux comme Alibaba Cloud ou Tencent Cloud, avec des centres situés en Chine continentale (ou en multi-lignes BGP).
  • Configuration matérielle : SSD (disque à état solide) >> HDD (disque dur mécanique) ! Choisissez un hébergement compatible avec PHP 7.x / 8.x et les dernières versions MySQL/MariaDB.
  • La bande passante : capacité du serveur à transférer des données vers l’extérieur. Pour débuter, une bande passante de base (quelques Mb/s) en hébergement mutualisé suffit. Évitez les hébergeurs bon marché qui prétendent offrir un « trafic illimité » mais limitent fortement la vitesse (on en a souvent pour son argent). Pour VPS/cloud, attention aux limites de bande passante en pointe (ex. 1Mbps/5Mbps).
  • Test d’accès : avant d’acheter, consultez les avis ou testez la vitesse d’accès aux sites de démonstration de l’hébergeur (si disponible).

Taux de disponibilité – Ne pas tomber en panne régulièrement !

Objectif : garantir que le site fonctionne sans interruption (par ex. 99,9 % de disponibilité ≈ moins de 8,76 heures d’arrêt par an). Les pannes fréquentes nuisent à la confiance des utilisateurs et des moteurs de recherche.

Comment vérifier :

  • Engagement de l’hébergeur : un hébergeur sérieux affiche clairement une garantie de service (SLA) de 99,9 % ou plus sur la page produit.
  • Recherchez des avis : tapez « nom hébergeur + avis / panne » pour voir les retours réels des utilisateurs. Les grandes marques sont généralement plus stables (mais pas toujours parfaites).
  • Efficacité du support client : peut-on contacter rapidement un conseiller en cas de problème (même la nuit ou le week-end) ? Les grandes sociétés offrent généralement un meilleur support.

Base de sécurité – Le cadenas HTTPS est obligatoire !

Pourquoi ? HTTPS chiffre la transmission des données et protège les données utilisateur (ex : identifiants, paiements). Sans HTTPS, le navigateur marque le site comme « non sécurisé », ce qui nuit gravement à l’expérience utilisateur et à la confiance ! C’est aussi une exigence fondamentale pour le référencement.

Comment faire ?

  • Choisissez un hébergeur qui propose un certificat SSL gratuit ! La plupart des hébergeurs sérieux (y compris les offres mutualisées d’Alibaba Cloud, Tencent Cloud) fournissent un certificat Let’s Encrypt gratuit avec wildcard (supporte www et domaine principal). Il est souvent possible de l’activer d’un simple clic dans le panneau d’administration.
  • Vérifiez la facilité d’installation : avant d’acheter, assurez-vous que l’hébergeur mentionne la prise en charge SSL ou Let’s Encrypt.
  • Forcer le HTTPS : une fois le certificat activé, assurez-vous que toutes les visites sont redirigées vers HTTPS (redirection 301). Le panneau d’hébergement propose généralement cette option.

Assez c’est assez : comment calculer la configuration nécessaire ?

Espace disque (capacité de stockage) : endroit total pour stocker les fichiers

  • Formule simple : taille moyenne d’une page × nombre estimé de pages + taille des images/vidéos.
  • Pour débutants : un blog personnel ou site vitrine avec des images moyennes nécessite en général 1 Go à 5 Go. Pour beaucoup d’images/vidéos ou un e-commerce (beaucoup de photos produits), il faut plus de 10 Go. On peut généralement monter en gamme facilement.
  • Attention : méfiez-vous des hébergeurs offrant un « énorme espace » à bas prix, souvent la performance est mauvaise.

Trafic mensuel / bande passante : quantité totale de données téléchargées par les utilisateurs chaque mois

  • Estimation facile : (taille moyenne d’une page + images) × visiteurs mensuels estimés × nombre moyen de pages vues par visiteur. Exemple : 500 Ko par page + image, 5000 visiteurs, 3 pages par visiteur → 0,5 Mo × 5000 × 3 = 7500 Mo ≈ 7,3 Go. Un forfait mutualisé standard avec 100 Go/mois suffit donc largement pour un débutant.
  • À noter : l’hébergement mutualisé impose souvent des limites cachées sur CPU et RAM, pas seulement stockage et trafic.

Nombre de bases de données :

  • Les CMS comme WordPress ont besoin d’une base de données (MySQL ou MariaDB généralement).
  • Pour débutants : en général, un site nécessite une seule base. L’hébergement mutualisé propose souvent plusieurs bases (quelques-unes à des dizaines), ce qui est amplement suffisant.

Comptes mail, sous-domaines, etc. : l’hébergement mutualisé offre souvent plusieurs comptes, configurez selon vos besoins.

Choix du fournisseur et conseils d’achat

Fournisseurs fiables et populaires :

  • Pour les utilisateurs en Chine, priorité : Alibaba Cloud (Wanwang Hosting), Tencent Cloud (Cloud Hosting / Serveurs légers), Huawei Cloud (Serveurs cloud). Ils proposent une large gamme d’hébergements mutualisés et cloud, avec un support local efficace.
  • Pour les utilisateurs internationaux ou techniques : SiteGround (réputé pour optimisation WordPress et rapidité), Bluehost, A2 Hosting, DreamHost, etc. Faites attention à la vitesse d’accès transfrontalière et aux éventuels problèmes de paiement.
  • Conseil : priorisez les grands fournisseurs proches de vos utilisateurs ! En Chine, Alibaba Cloud/Tencent Cloud ; aux USA, SiteGround/Bluehost.

Points clés à vérifier lors de l’achat :

  1. Langues/Programmes supportés : Assurez-vous que l’environnement d’hébergement supporte le programme de création de site que vous utilisez (comme Apache/Nginx + PHP + MySQL). La version de PHP ne doit pas être trop ancienne.
  2. Panneau de contrôle : Est-ce qu’un panneau de gestion graphique facile à utiliser est proposé ? Par exemple, cPanel (utilisé internationalement) ou BaoTa Panel (populaire en Chine) sont très importants pour les débutants.
  3. Sauvegarde automatique : Est-ce que l’hébergeur propose un service de sauvegarde automatique régulière ? La sécurité des données est cruciale ! À quelle fréquence sont effectuées les sauvegardes ? Combien de temps sont-elles conservées ? Peut-on restaurer soi-même ? Une sauvegarde gratuite est indispensable (généralement conservée de 7 à 30 jours).
  4. Support client : Quels moyens de contact sont proposés (support en ligne 24/7 ? Téléphone ? Tickets ? En français ?) Quelle est la rapidité de réponse ? Testez le service client avant d’acheter pour vérifier la réactivité.
  5. Politique tarifaire : Prix promotionnel la première année vs prix de renouvellement (le prix de renouvellement peut être beaucoup plus élevé) ! Impact de la durée du paiement.
  6. Politique de remboursement : La plupart des bons hébergeurs proposent une garantie de remboursement d’environ 30 jours sans condition (période d’essai), il faut bien se renseigner.
  7. Avis des utilisateurs : Enfin, consultez les avis réels des utilisateurs (notamment récents) pour voir s’il existe des problèmes récurrents (comme lenteur, pannes fréquentes, mauvais support).

Organiser raisonnablement la structure du contenu du site

Une bonne structure de site signifie pour les utilisateurs : ils trouvent facilement l’information, en quelques clics ils atteignent ce qu’ils veulent, ce qui crée une expérience naturelle et fluide.

Pour les moteurs de recherche : Leurs « crawlers » (comprenez comme des robots collectant le contenu) peuvent trouver toutes vos pages sans obstacle, comprendre de quoi parlent ces pages et leurs relations.

Menu de navigation : la clarté et la simplicité sont essentielles

La barre de navigation (généralement en haut du site) est la « voie principale » pour les utilisateurs pour explorer le site. Sa conception détermine si les utilisateurs comprennent immédiatement ce que votre site propose et comment y accéder.

Contrôler la quantité : moins c’est plus !

Principe : Le nombre d’items dans le menu principal ne doit pas être trop élevé, le but est que l’utilisateur comprenne tout en un coup d’œil. Le nombre idéal est généralement 5 à 7 items maximum.

Contenu :

  • Activités / Produits principaux : par exemple « Produits », « Services », « Solutions ». Organiser par type d’activité ou catégorie de produit, éviter d’entasser trop de sous-produits (les placer dans des sous-menus).
  • Pages d’informations clés : « À propos » (histoire de la marque, équipe), « Contact » (différents moyens de contact).
  • Centre de contenu de valeur / Actualités : « Blog », « Articles », « Centre de ressources », « Centre d’aide » (pour publier articles, tutoriels, ressources à télécharger).
  • Appel à l’action (optionnel mais recommandé) : « Essai gratuit », « Contactez-nous », « Panier » (e-commerce).

À éviter : Ne mettez pas tous les liens du site dans le menu principal ! Les pages secondaires (comme la politique de confidentialité, offres d’emploi) conviennent mieux en pied de page.

Noms clairs : immédiatement compréhensibles !

Les noms des items doivent utiliser des termes que l’utilisateur comprend au premier regard, éviter le jargon ou des noms trop créatifs (par exemple « Idées géniales » au lieu de « Blog »). Par exemple : « Services » est plus direct que « Ce que nous pouvons faire ? ».

Hiérarchie aplatie : ne pas enterrer trop profondément !

Règle des trois niveaux (état idéal) :

  • Niveau 1 : menu principal (ex : « Produits »)
  • Niveau 2 : menu déroulant (ex : « Téléphones », « Ordinateurs », « Accessoires »)
  • Niveau 3 : page spécifique (ex : sous « Téléphones », « iPhone 15 », « Huawei P60 »)

Objectif clé : Toutes les pages importantes devraient être accessibles en moins de 3 clics (Accueil → Menu principal → Sous-menu → Page)

Une hiérarchie trop profonde (4 clics ou plus) augmente le taux de rebond et complique la lecture par les robots des moteurs de recherche.

URL : courtes et sémantiques

Chaque page a une URL unique. Une bonne URL est comme un panneau clair : l’utilisateur comprend immédiatement de quoi parle la page et les moteurs de recherche peuvent saisir le sujet.

Principes de base :

Inclure les mots-clés : L’URL doit naturellement contenir le mot-clé principal ou le nom de la catégorie. Par exemple :

  • Bien : www.example.com/blog/how-to-choose-domain-name (blog – comment choisir un nom de domaine)
  • Mal : www.example.com/post.php?id=123 (numéros sans sens)
  • Bien : www.example.com/services/seo-services (services – services SEO)

Exprimer clairement la hiérarchie : La structure URL doit refléter la position hiérarchique de la page dans le site, en séparant les niveaux par des barres obliques /. Par exemple :

  • Page catégorie produit : .../products/notebooks
  • Page produit spécifique : .../products/notebooks/macbook-pro-16
  • Page à propos : .../about-us
  • Article de blog : .../blog/category/article-name (dossier catégorie optionnel)

Court et précis : Supprimez les mots inutiles (comme the, a, and), tout en gardant une sémantique claire. La priorité est la clarté du sens plutôt que la longueur absolue.Utiliser le tiret - comme séparateur : Évitez les espaces (qui seront codés en %20, ce qui est disgracieux), les underscores _ (qui peuvent poser problème dans certains cas) ou les caractères spéciaux. how-to-choose-domain-name est la norme recommandée.

Comment le configurer (basé sur les plateformes de création de sites) :

WordPress :

  1. Allez dans « Réglages » → « Permaliens ».
  2. Nous recommandons fortement de choisir « Structure personnalisée » et d’entrer /.
  3. Structures courantes recommandées : /%postname%/ (utilisation directe du slug de l’article dans l’URL) ou /%category%/%postname%/ (incluant la catégorie).

Autres CMS (comme Shopify, Wix) : Généralement, le back-office propose des réglages SEO ou un éditeur d’URL. Assurez-vous de pouvoir modifier pour un format convivial. Évitez les URL par défaut générées automatiquement, longues et sans sens.

Configuration manuelle : Si vous développez votre site en code pur, appliquez ces principes lors de la conception des règles de routage URL.

Liens internes : tisser un réseau de contenu (améliorer le poids SEO & l’expérience utilisateur)

Les liens internes désignent les liens d’une page de votre site vers une autre page du même site. C’est l’un des outils SEO les plus puissants, mais souvent sous-estimé par les débutants.

Valeur clé :

  • Guider l’utilisateur à lire plus en profondeur : Insérez des liens dans des contenus liés, afin de faciliter l’exploration d’informations complémentaires, augmentant ainsi les pages vues et le temps passé sur le site. Par exemple : dans un article « Comment choisir un nom de domaine », on peut lier vers « Recommandations de registraires » ou « Guide de choix d’hébergement ».
  • Aider les moteurs de recherche à crawler et indexer : Les bots suivent les liens pour découvrir de nouvelles pages (particulièrement celles qui ne sont pas dans le menu ou le sitemap).
  • Transmettre le poids des pages (importance) : Les moteurs considèrent plus importantes les pages liées depuis des pages à forte autorité (comme la page d’accueil).
  • Définir la pertinence thématique : Les pages liées entre elles sont perçues comme thématiquement plus cohérentes.

Stratégie de mise en place (guide opérationnel) :

Intégration naturelle dans le texte : La meilleure manière est de lier avec un texte d’ancrage descriptif à des endroits pertinents dans l’article. Le texte d’ancrage doit indiquer clairement la destination ( évitez les textes vagues comme « cliquez ici »).

Bien : Lors du choix d’un hébergement, la **vitesse d’accès** est un facteur clé. (lien vers une page expliquant en détail « Pourquoi la vitesse est importante »)

Mauvais : Pour en savoir plus sur l’importance de la vitesse, **cliquez ici**.

  • Module articles liés / lectures recommandées : En bas de l’article ou en sidebar, insérez un module listant automatiquement ou manuellement d’autres articles très liés au sujet courant.
  • Fil d’Ariane : Affiche la position de l’utilisateur en haut de la page (souvent sous le titre), par exemple : Accueil > Blog > Astuces SEO > Structure du site. C’est un outil puissant de navigation et de liens internes, reflétant clairement la hiérarchie.
  • Page sitemap HTML : Une page en texte clair listant tous les liens importants du site (avec une structure hiérarchique possible). Peu utilisée par les visiteurs, mais très utile pour les moteurs de recherche.
  • Évitez l’abus : Ajoutez des liens uniquement aux endroits réellement pertinents et vers des pages de qualité. Ne pas ajouter des liens uniquement pour augmenter le nombre.

Sitemap XML : la carte pour les moteurs de recherche

Le sitemap XML (Sitemap.xml) est un fichier spécial (généralement placé à la racine, par exemple www.example.com/sitemap.xml) qui liste toutes les URLs importantes de votre site avec des méta-informations comme la dernière date de modification, la fréquence de mise à jour et la priorité.

Rôle principal :

  • Assurer l’indexation : Informer activement les moteurs de recherche des pages existantes (particulièrement important pour les sites complexes, les pages nouvelles ou peu liées). Améliore significativement la rapidité et la probabilité d’indexation.
  • Détecter les mises à jour : Les moteurs peuvent utiliser le champ lastmod (date de dernière modification) pour détecter rapidement les pages mises à jour et les crawler de nouveau.
  • Indication de priorité (optionnelle) : Vous pouvez attribuer une valeur priority plus élevée (de 0.0 à 1.0) aux pages importantes comme la page d’accueil ou les pages produits clés.

Comment générer et soumettre un sitemap (facile pour les débutants) :

Génération :

  • Génération automatique via la plateforme du site : Les CMS populaires comme WordPress disposent généralement de fonctions intégrées ou de plugins gratuits (comme « Yoast SEO », « Rank Math », « Google XML Sitemaps ») permettant de générer un sitemap en un clic. C’est la méthode la plus recommandée, car le sitemap se met à jour automatiquement lors des modifications du site.
  • Outils de génération en ligne : Il existe des outils gratuits en ligne (cherchez « générateur de sitemap XML ») où vous saisissez l’URL de votre site pour générer un sitemap, mais il faudra le mettre à jour manuellement. Adapté aux sites statiques.
  • Écriture manuelle (non recommandé) : Très fastidieux, presque personne ne le fait.

Soumission :

  • Plateforme de ressources de recherche Baidu : Connectez-vous, allez dans Gestion du site → Soumission de ressources → Indexation normale → Sitemap, puis saisissez l’URL de votre sitemap XML.
  • Google Search Console : Connectez-vous, choisissez la propriété concernée, puis dans le menu à gauche → Sitemaps → saisissez l’URL de votre sitemap XML dans la zone « Ajouter un nouveau sitemap ».
  • Conseil : Après mise à jour du sitemap, soumettez-le à nouveau sur ces deux plateformes.

Bien faire la recherche de mots-clés

La recherche de mots-clés consiste simplement à comprendre ce que vos utilisateurs cibles cherchent et comment ils cherchent.

Ce n’est pas du hasard, c’est l’étape la plus importante et la plus directionnelle du SEO !

Trouvez les mots-clés qui ont du volume de recherche, qui sont pertinents pour votre contenu, et pour lesquels vous avez une chance de vous positionner.

Objectifs de la recherche de mots-clés

Ils répondent généralement à trois critères :

  1. Pertinence : Le mot-clé ou l’expression doit être étroitement lié à votre thème, votre activité ou votre contenu. Un site qui vend des tapis de yoga ne devrait pas optimiser pour « dernier smartphone ».
  2. Volume de recherche : Il doit y avoir un nombre significatif de personnes qui recherchent ce terme. Les mots-clés avec un volume nul ou très faible ont peu de retour sur investissement (mais ne négligez pas les effets d’accumulation des mots-clés longue traîne).
  3. Compétition maîtrisable : La concurrence doit être telle que, avec la base actuelle de votre site (autorité de domaine, contenu) vous pouvez vous positionner. Un site récent ne peut pas rivaliser sur des mots-clés génériques très concurrentiels comme « assurance » ou « prêt ».

Sources de mots-clés

Se mettre à la place de l’utilisateur (changer de perspective) :

  • Demandez-vous : Si j’avais un problème/besoin de ce produit ou service, que taperais-je sur Baidu/Google ?
  • Demandez aux clients/utilisateurs cibles : Lors des échanges ou enquêtes, demandez-leur comment ils cherchent généralement les informations. C’est une source précieuse d’informations originales.
  • Demandez à l’équipe ou aux commerciaux : Ils sont en contact direct avec les clients et connaissent bien leurs questions et habitudes de recherche.

Analyse de la concurrence :

  • Trouvez 3 à 5 sites performants dans votre secteur.
  • Examinez les titres (Title) et descriptions (Description) de leurs pages d’accueil : Ils contiennent souvent les mots-clés principaux sur lesquels ils se concentrent.
  • Examinez les articles/pages produits bien classés : Portez attention à leurs titres et au focus de leur contenu.

Utilisation d’outils gratuits :

  • Outils webmaster pour vérifier les mots-clés : Google Search Console permet de voir les mots-clés qui génèrent du trafic vers les sites concurrents (si leur trafic est assez élevé, vous pouvez obtenir certaines données).
  • Extensions SEO (comme MozBar en version gratuite, Ahrefs gratuit) : Donnent une première idée des mots-clés ciblés et du profil de liens externes des concurrents.

Les « indices » des moteurs de recherche (suggestions automatiques, recherches associées) :

Suggestions dans la barre de recherche : Lorsque vous tapez un mot-clé principal (ex : « fitness ») sur Google, la barre déroulante affiche de nombreuses expressions longue traîne fréquemment recherchées. C’est une source extrêmement précieuse !

Recherches associées en bas de la page de résultats : En bas de la page, Google liste d’autres expressions souvent recherchées.

Comment procéder : Prenez vos mots-clés principaux, noms de produits, descriptions de problèmes, effectuez des recherches, et notez à plusieurs reprises les suggestions et recherches associées.

Outils gratuits/à faible coût pour une exploration basée sur les données :

  • Google Trends : (trends.google.com) – Similaire à Baidu Index, permet de voir la tendance des mots-clés dans le temps et par zone géographique, ainsi que les sujets et requêtes connexes.
  • Google Keyword Planner : (nécessite un compte Google Ads, gratuit) – Comparable à l’outil de planification Baidu, fournit des prévisions de volume de recherche et des niveaux de concurrence (« élevé », « moyen », « faible »).

Autres outils gratuits :

  • AnswerThePublic : Entrez un mot-clé principal et obtenez une liste de questions fréquemment posées par les utilisateurs, par exemple « fitness comment commencer ? », « fitness quel matériel ? ».

Comprendre l’essence : saisir « l’intention de recherche »

L’intention de recherche, c’est simplement : quand un utilisateur tape ce mot-clé, que veut-il vraiment faire ? Quel type de résultat espère-t-il voir ?

Pourquoi c’est important ? Parce que le but des moteurs de recherche est de fournir les résultats qui correspondent le mieux à l’intention de l’utilisateur.

Si votre contenu ne correspond pas à l’intention, même avec un bon classement, l’utilisateur ne cliquera pas, ou cliquera puis partira immédiatement (taux de rebond élevé), ce qui fera baisser votre position.

Types courants d’intention de recherche :

Informationnelle (Informational) :

L’utilisateur veut : apprendre, se renseigner, chercher des informations, résoudre un problème.

Caractéristiques des mots-clés : souvent sous forme de questions ou contenant des expressions comme « qu’est-ce que », « pourquoi », « comment », « tutoriel », « guide ».

Exemples : « Qu’est-ce que le SEO ? », « Comment installer WordPress ? », « Quel médicament pour guérir vite un rhume ? »

Contenu adapté : fournir des réponses claires, complètes, faciles à comprendre, articles tutoriels ou guides.

Navigationnelle (Navigational) :

L’utilisateur veut : accéder directement à un site web, une marque ou une page spécifique.

Caractéristiques des mots-clés : généralement un nom de marque, site ou produit spécifique.

Exemples : « Taobao », « Zhihu », « site officiel Apple », « boutique Xiaomi ».

Contenu adapté : généralement dominé par le site officiel de la marque. Pour les non-marques, ces mots-clés ont peu de valeur (sauf pour les sites de navigation).

Transactionnelle (Transactional) :

L’utilisateur veut : acheter, chercher un service, s’inscrire, télécharger (intention d’action claire).

Caractéristiques des mots-clés : souvent avec des mots comme « acheter », « prix », « promotion », « forfait », « téléchargement », « meilleur », « recommandé ».

Exemples : « Prix des chaussures Nike », « promotion hébergement XX », « meilleur studio de yoga dans le district de Chaoyang à Pékin ».

Contenu adapté : pages produits, présentation de services, pages promotionnelles, guides d’achat ou comparatifs avec forte incitation.

Investigation commerciale (Commercial Investigation) :

L’utilisateur veut : comparer différentes marques, produits ou services pour préparer une décision d’achat.

Caractéristiques des mots-clés : souvent avec « vs », « comparaison », « lequel est meilleur », « test », « avis », « marque A marque B ».

Exemples : « Huawei vs iPhone », « WordPress ou Shopify, lequel est mieux ? », « avis hébergement XX ».

Contenu adapté : articles de comparaison approfondis, tests, analyses avantages-inconvénients, témoignages utilisateurs.

Mots-clés longue traîne

Les « mots-clés longue traîne » sont des expressions avec un volume de recherche relativement faible (mais énorme en cumulé), généralement plus longues et plus spécifiques.

Caractéristiques : « cours de peinture à l’huile pour adultes débutants le week-end à Haidian, Pékin avec bon rapport qualité-prix », « problème de signal iPhone 15 Pro Max, que faire », « crème hydratante pas chère recommandée pour peau sensible »

Pourquoi les nouveaux sites doivent-ils les cibler ?

  1. Intention de recherche très claire : l’objectif de l’utilisateur est précis, avec un fort besoin de solution ou conversion.
  2. Faible concurrence : très ciblés, peu de sites optimisent pour eux, donc plus facile pour les nouveaux sites de se positionner.
  3. Potentiel de conversion élevé : plus le mot-clé est spécifique, plus la demande est claire ; si votre contenu y répond bien, conversion (achat, contact, inscription) plus probable.
  4. Volume énorme : la majorité des recherches sur Internet sont des mots-clés longue traîne — l’effet cumulé est très puissant.

Comment trouver des mots-clés longue traîne ?

Variantes et extensions du mot-clé principal : utilisez des outils et les suggestions de recherche/« recherches associées » pour développer des questions, contextes, localisations, fonctions, etc.

Exemple : mot-clé principal « fitness » → longue traîne : « comment faire du fitness à la maison », « que manger quand on fait du fitness », « programme fitness débutant en salle », « plan de perte de poids avec petit déficit », « les filles deviennent-elles musclées avec le fitness ? »

Plateformes de questions-réponses et communautés : Quora, Facebook, LinkedIn, forums spécialisés — quelles questions posent les gens ? Comment formulent-ils leurs questions ? Ce sont d’excellentes sources de mots-clés longue traîne !

Surveillez les commentaires utilisateurs : les questions dans les commentaires sur votre site ou ceux des concurrents reflètent aussi les besoins de recherche.

Sélection et organisation des mots-clés

Après avoir collecté beaucoup de mots-clés, vous devez les filtrer et les classer pour créer votre bibliothèque stratégique de mots-clés principaux.

Critères de filtrage (en combinant objectifs et données d’outils) :

Pertinence : premier filtre — éliminer les mots-clés non pertinents.

Intention cible : correspond-elle au type d’intention que vous souhaitez prioriser ? (ex : un nouveau blog privilégie l’informationnelle, un site e-commerce les transactionnels ou comparatifs)

Volume de recherche (estimé) : utilisez Google Keyword Planner ou autre pour avoir une fourchette ou tendance, évaluer si cela vaut l’effort.

Évitez de viser uniquement les gros volumes, concentrez-vous sur les mots-clés longue traîne avec du potentiel (même quelques dizaines ou centaines de recherches par mois).

Concurrence (évaluation) :
Conseil outil : Consultez l’indication du « niveau de concurrence » donnée par le planificateur de mots-clés (ou l’estimation de difficulté dans les outils SEO).

Recherche manuelle : Tapez le mot-clé sur Google et observez :

Quels sites apparaissent en première page ? (Des gros sites comme des sites officiels, Zhihu, des leaders du secteur ? Ou des blogs personnels ou de petites entreprises ? Les premiers ont naturellement une difficulté de classement plus élevée.)

Y a-t-il beaucoup de publicités sur la page de résultats ? (Beaucoup de pubs signifie souvent une forte valeur commerciale et une concurrence intense.)

Y a-t-il des fonctionnalités spéciales riches (carrousel vidéo, knowledge graph, extraits sélectionnés, etc.) ? (Cela peut disperser les clics des utilisateurs)

Valeur commerciale : Pour les mots-clés à forte intention transactionnelle, même un volume de recherche moyen doit être priorisé.

Créer une base de mots-clés (gestion structurée) :

Regroupement : Par thème principal, type d’activité ou sections du site.

Exemple de regroupement : « Mots-clés produits principaux », « Mots-clés métiers principaux », « Mots-clés articles d’information (par thème) », « Mots-clés longue traîne de questions ».

Champs : Notez dans Excel ou un document :

  1. Mot-clé (Keyword)
  2. Intention de recherche (Intent – info/transaction/comparaison/navigation)
  3. Volume de recherche estimé (Search Volume – ou plage de popularité)
  4. Difficulté concurrentielle (Competition – élevé/moyen/faible)
  5. Page cible (Target Page – page à optimiser ?)
  6. Notes (Notes – source, idées spéciales…)

Priorisation :

  • Formule débutant : Forte pertinence + compétition moyenne à faible + volume raisonnable/forte valeur commerciale.
  • Commencer par les mots-clés longue traîne principaux : Concentrez-vous sur quelques mots-clés longue traîne pertinents et peu compétitifs pour obtenir des classements, construire la confiance et générer du trafic initial. Ne cherchez pas à optimiser les gros mots-clés tout de suite !

Créer un contenu utile et agréable à lire

Qu’est-ce qu’un bon contenu ? Rappelez-vous deux règles d’or :

  1. Utile (valeur centrale) : Répondre vraiment aux problèmes des utilisateurs, fournir des infos dont ils ont urgemment besoin, satisfaire leur curiosité ou leurs besoins. Que le lecteur y gagne quelque chose !
  2. Agréable à lire (expérience-clé) : Écrire clairement, de façon structurée, facile à comprendre. L’utilisateur doit pouvoir saisir l’essentiel d’un coup d’œil, sans effort.

Le contenu doit être « utile » (résoudre les problèmes utilisateurs)

Ancrer l’« intention de recherche » :

  • Retour à la source : Revoyez l’intention de recherche définie lors de l’étude des mots-clés (informationnelle, transactionnelle, etc.) pour chaque mot-clé cible. Votre contenu doit correspondre à 100 % à cette intention !
  • Intention « apprendre » : Fournir des guides clairs, systématiques et exploitables.
  • Intention « acheter » : Donner des informations produit détaillées, des avis authentiques, des guides d’achat et un accès facile.
  • Intention « comparer » : Réaliser des comparatifs objectifs et approfondis.

Couvrir la profondeur des besoins : Ne pas rester superficiel ! Tentez de couvrir toutes les sous-questions clés liées au thème pour offrir une solution complète.

Par exemple, pour « comment choisir un nom de domaine », ne parlez pas seulement des extensions, mais aussi des « comparaisons de plateformes d’enregistrement », de « l’importance de la protection de la vie privée », des « étapes après l’enregistrement », etc.

Apporter une valeur au-delà des attentes :

  • Points de vue/analyses uniques : Ne vous contentez pas de recopier des infos, ajoutez votre réflexion, expérience ou angle original.
  • Étapes exploitables : Des tutoriels avec des étapes claires et détaillées pour que l’utilisateur puisse agir immédiatement.
  • Données/cas concrets : Utiliser des données réelles pour étayer les arguments, montrer des cas pratiques.
  • Ressources : Proposer des outils utiles, modèles, liens de téléchargement, etc.

Titre : la vitrine qui attire les clics et transmet l’information

Éléments clés :

  1. Inclure le mot-clé principal : Essayez de placer le mot-clé cible au début ou près du début du titre, de manière naturelle (pour que les utilisateurs et moteurs comprennent immédiatement le sujet).
  2. Transmettre clairement la valeur/le bénéfice : Indiquez ce que le lecteur gagnera à lire l’article (ex. : « résoudre le problème XX », « apprendre XX en 5 minutes », « guide XX »).
  3. Susciter l’intérêt (avec modération) : Créez de la curiosité, utilisez des mots positifs ou soulignez un point douloureux (sans exagérer ni faire de clickbait).

Astuces pratiques :

Exemples de structure :

  1. Mot-clé + bénéfice/solution : « Guide de choix de nom de domaine : 3 étapes pour un nom facile à retenir et fiable »
  2. Forme interrogative : « Comment choisir un hébergement web ? Guide anti-pièges pour débutants »
  3. Liste chiffrée : « 7 astuces pour rendre le contenu de votre site plus lisible »
  4. Résolution de problème : « Site lent sur mobile ? Peut-être que votre hébergement n’est pas adapté »

Longueur modérée : Les moteurs limitent la longueur des titres (environ 60 caractères sur PC, moins sur mobile). Mettez les infos et mots-clés importants au début.

Pas de titre clickbait : Le contenu doit tenir la promesse du titre ! Les exagérations augmentent le taux de rebond et font perdre la confiance.

Structure claire : rendre la lecture agréable

Logique hiérarchique :

  • Organiser autour du thème principal : Ne pas s’éloigner du sujet.
  • Du général au détail : L’introduction est courte et explique ce que l’article va résoudre ou apporter (accroche). Puis développez en profondeur.

​Utilisez efficacement les sous-titres (H2, H3) :​

  • ​Diviser les blocs de contenu :​​ Chaque sous-titre représente un sous-thème ou un point clé.
  • ​Inclure des mots-clés :​​ Intégrez des mots-clés pertinents dans les titres H2/H3 de manière appropriée (aide au SEO et à la compréhension).
  • ​Format visible :​​ Différencier visuellement du texte principal (souvent taille de police plus grande, en gras).

​Paragraphe court et concis :​

  • ​Un seul message par paragraphe :​​ Chaque paragraphe traite un seul point clé.
  • ​Contrôle de la longueur :​​ 3-5 lignes par paragraphe (sur un écran d’ordinateur) sont idéales. Divisez les idées longues en plusieurs paragraphes.

​Utilisation astucieuse des listes :​

  • ​Puces (Bullet Points) :​​ Pour des points, caractéristiques ou étapes de même importance.
  • ​Listes numérotées :​​ Pour des étapes ou processus ordonnés.
  • ​Rôle :​​ Améliore considérablement la lisibilité et la capacité à scanner, particulièrement pour présenter des points clés.

​Utilisation de l’espace blanc :​

  • ​Espacement adapté entre les paragraphes et lignes :​​ Évite la sensation de surcharge et permet à la page de « respirer ».

​Mise en forme du texte (avec modération) :​

  • ​Gras (Bold) :​​ Met en avant les concepts ou mots-clés les plus importants.
  • ​Italique (Italic) :​​ Pour un accent secondaire ou une citation.
  • ​Attention :​​ Évitez les grandes zones en gras ou la surutilisation, cela dilue l’effet.

Expression claire et naturelle

Professionnel ne signifie pas compliqué. La clarté et la simplicité sont le vrai professionnalisme.

​Ciblez votre audience :​​ Imaginez que vous expliquez à un ami ou un client.

​Évitez les termes trop techniques :​​ Si vous devez en utiliser, ​​ajoutez une explication simple juste après​​. Par exemple : « CMS (système de gestion de contenu) est un logiciel qui permet de créer un site web sans coder. »

​Structure de phrase simple :​

  1. Utilisez beaucoup de phrases courtes.
  2. Réduisez les phrases complexes avec plusieurs subordonnées.
  3. Clarifiez le sujet.
  4. Évitez la voix passive inutile.

​Ton amical et positif :​​ Utilisez « nous », « vous » pour créer de la proximité.

​Lisez à voix haute :​​ Relisez ou faites lire à quelqu’un. Les passages maladroits sautent aux yeux et doivent être corrigés.

Intégration naturelle des mots-clés

​Positions clés :​

  • ​Premier paragraphe :​​ Juste sous le titre, insérez naturellement les mots-clés principaux.
  • ​Sous-titres dans le corps :​​ Placez des mots-clés dans les titres H2/H3 quand cela est pertinent.
  • ​Dernier paragraphe :​​ Rappelez naturellement les mots-clés principaux pour conclure le sujet.

​Variantes sémantiques et mots liés :​​ Ne répétez pas toujours le même mot. Utilisez des termes liés, synonymes, variantes longue traîne ou questions (pertinentes). Par exemple, sur le thème « domaine », intégrez aussi « adresse web », « enregistrement de domaine », « conseils pour choisir un domaine ».

​Pas d’obsession de densité :​​ ​​Ne visez pas un pourcentage précis !​​ L’essentiel est un texte naturel et fluide. Trop de mots-clés nuit à l’expérience de lecture et peut être pénalisé par les moteurs de recherche.

​Centré sur l’expérience lecteur :​​ Demandez-vous : Ce mot-clé a-t-il sa place ici ? Est-ce naturel ? Est-ce cohérent ?

Images et multimédia : Plus que de la déco

​Améliorez la compréhension et l’attractivité :​

  • Des graphiques pour expliquer les concepts complexes.
  • Des captures d’écran ou courtes vidéos pour les étapes pratiques.
  • Des images de qualité et évocatrices augmentent l’intérêt de lecture.

​Optimisation SEO des images :​

  1. ​Noms de fichiers explicites :​​ Remplacez IMG_1234.jpg par un nom descriptif, par exemple how-to-choose-domain-name-diagram.jpg.
  2. ​Texte alternatif (Alt Text) obligatoire :​​ Pour les lecteurs d’écran, lorsque l’image ne charge pas, et pour que les moteurs comprennent le contenu.
  3. ​Comment écrire :​​ Précis, concis, avec mots-clés naturels. Par exemple : « Capture d’écran du processus d’enregistrement de domaine sur la plateforme ».
  4. ​Légende (Caption) :​​ Texte court sous l’image pour expliquer, indiquer la source ou attirer l’attention.
  5. ​Compression des fichiers :​​ Optimisez la taille des images (avec TinyPNG, Squoosh) pour un bon équilibre entre qualité et rapidité de chargement.

Fraîcheur du contenu

Mise en place d’un mécanisme de mise à jour :

Revue périodique : Vérifiez régulièrement (par exemple chaque trimestre ou semestre) les contenus à fort trafic et ceux ciblant des mots-clés importants.

Identifier les contenus nécessitant une mise à jour :

  • Informations obsolètes (politiques, données, versions logicielles).
  • Baisse marquée du classement ou du trafic.
  • Commentaires/retours des utilisateurs signalant des erreurs ou de nouveaux besoins.
  • Contenu initial pas assez approfondi ou complet.

Stratégies de mise à jour :

  • Mettre à jour les données/informations : Remplacer par les dernières références.
  • Ajouter de nouveaux contenus/chapitres : Approfondir ou couvrir de nouvelles problématiques apparues.
  • Optimiser les titres/descriptions : Si le titre n’est pas attractif ou la description imprécise.
  • Améliorer la lisibilité : Mieux structurer, améliorer la langue, ajouter des images/tableaux.
  • Renforcer la couverture des mots-clés / la satisfaction de l’intention : Ajuster selon les données actuelles des mots-clés.
  • Corriger les erreurs : Orthographe, syntaxe, liens obsolètes.

Réécriture ou découpage/fusion :

  • Si le thème change beaucoup ou devient trop ancien, envisager une réécriture complète.
  • Les contenus trop longs ou complexes peuvent être divisés en une série d’articles.
  • Plusieurs pages connexes mais peu fournies peuvent être fusionnées en un guide plus complet.

Bien réaliser l’optimisation technique de base et la “promotion”

Cette étape SEO vise à résoudre deux points clés :

  1. Bien “tenir la boutique” : S’assurer que le site est rapide, agréable à consulter sur mobile, sûr et fiable (optimisation technique de base). Permettre aux utilisateurs de naviguer facilement et aux robots des moteurs de recherche d’explorer le contenu aisément.
  2. Trouver des moyens de “faire du bruit” : En obtenant beaucoup de liens entrants (sites qui recommandent le vôtre) et en partageant sur les réseaux sociaux, pour faire connaître votre site (promotion de contenu).

Optimisation technique de base

Vitesse du site : un élément vital ! (point crucial !)

Pourquoi est-ce crucial ? Les utilisateurs sont impatients, un temps de chargement au-delà de 3 secondes peut les faire fuir ! La vitesse est aussi un facteur direct de classement pour les moteurs de recherche.

Causes fréquentes de lenteur et solutions pour débutants :

Taille trop grande des images Cause numéro un !

  • Que faire : Compresser absolument les images ! Utiliser des outils en ligne gratuits (TinyPNG, Squoosh) ou des plugins (comme WP Smush pour WordPress) pour compresser les fichiers images sans perte.
  • Objectif : contrôler la taille des fichiers image affichés sur la page entre 100Ko et 300Ko (selon la résolution). Les images pour réseaux sociaux sont à part.

Choisir le bon format : JPG pour les photos, PNG ou SVG pour les graphiques simples/logos.

Espace d’hébergement limité : Les hébergements mutualisés très bon marché peuvent avoir de mauvaises performances.

Conseils/optimisations :

  • Pour un nouveau site, privilégier un hébergeur réputé, avec une infrastructure moderne (disques SSD). Éviter les hébergeurs “trop bon marché” piégeux.
  • Activer la fonction cache proposée par l’hébergeur (souvent un simple clic).
  • Utiliser un CDN (réseau de distribution de contenu) comme Cloudflare (offre gratuite disponible), Baidu Cloud Acceleration, etc. Le principe est de distribuer vos fichiers statiques (images, CSS, JS) sur plusieurs points dans le monde, permettant aux utilisateurs d’accéder à un serveur proche et d’améliorer ainsi la vitesse de chargement. La version gratuite est souvent très efficace et simple à configurer.

Code front-end trop lourd (trop de plugins/effets) : Les plateformes de création avec trop de plugins ou thèmes peuvent ralentir le site.

Optimisation : Examiner régulièrement et désactiver/supprimer les plugins et thèmes inutilisés. Choisir des thèmes et plugins légers et bien notés.

Outils de test : Utiliser des outils gratuits pour tester la vitesse et identifier les points faibles : Google PageSpeed Insights, Plateforme Baidu pour webmasters → Test de vitesse du site.

Adaptation mobile

Situation actuelle : Le trafic mobile dépasse largement celui sur ordinateur. Les moteurs de recherche indexent prioritairement la version mobile des sites.

Comment faire :

  • Utiliser un design responsive : meilleure solution ! Le site s’adapte automatiquement à la taille de l’écran (mobile, tablette, ordinateur) en ajustant la mise en page, la taille des images et des polices. La majorité des plateformes modernes (thèmes WordPress, Shopify, Wix, etc.) le supportent. Assurez-vous que votre site utilise un design responsive (demandez à votre fournisseur ou vérifiez la description du thème).
  • À éviter : Ne pas utiliser de site mobile séparé avec une URL différente comme m.example.com, car c’est difficile à maintenir et sujet aux erreurs.

Outils de contrôle : Utilisez Google Search Console → Test de convivialité mobile, Plateforme Baidu → Adaptation mobile (pour les méthodes anciennes). Ou testez directement sur un téléphone : le texte est-il lisible ? Les boutons faciles à cliquer ? Faut-il zoomer manuellement ?
HTTPS et le cadenas de sécurité (Obligatoire !)

Pourquoi est-ce indispensable ? Il chiffre la transmission des données entre le navigateur de l’utilisateur et le serveur, protège la vie privée (comme les informations de connexion), évite que le navigateur affiche un message “Non sécurisé”, et c’est aussi une exigence de base pour le référencement sur les moteurs de recherche.

Comment faire ? C’est super simple !

  1. Choisissez un hébergeur qui propose des certificats SSL Let’s Encrypt gratuits (Alibaba Cloud, Tencent Cloud, SiteGround et d’autres principaux fournisseurs les proposent).
  2. Connectez-vous au panneau de contrôle de votre hébergeur (cPanel, panneau BaoTa, etc.) et trouvez la section « SSL/TLS » ou « Sécurité ».
  3. Demandez et activez en un clic le certificat pour votre domaine (il y a souvent un bouton « Obtenir gratuitement », « Installer Let’s Encrypt », etc.).
  4. Forcer HTTPS (redirection 301) : Après activation du SSL, configurez impérativement la redirection automatique de toutes les visites en http:// vers https://. Le panneau de contrôle propose généralement une option « Forcer HTTPS » à activer.

Vérification : Accédez à votre site via un navigateur, vous devriez voir un petit cadenas à gauche de la barre d’adresse. Cliquez dessus pour voir les informations du certificat.

Informer les moteurs de recherche des nouveaux contenus : soumettre les liens activement

Soumission de sitemap XML : (déjà mentionné à l’étape 3) c’est une méthode longue durée et complète pour notifier les moteurs de recherche de toutes les pages importantes.

Soumission immédiate des nouvelles pages / mises à jour importantes :

  • Google Search Console : Menu à gauche → Inspection d’URL → entrez l’URL de la nouvelle page → tester l’URL réelle → demander l’indexation.
  • But : accélérer la découverte et l’indexation des nouvelles pages par les moteurs (le classement prendra toujours du temps).

Promotion du contenu et création de liens externes

De nombreux backlinks sont la clé du poids du domaine.

  • Pourquoi est-ce central ? De nombreux sites différents (surtout issus de secteurs et domaines non liés) qui pointent vers vous, c’est comme autant de recommandations pour vos articles ou produits. Cela transmet des « votes de confiance », augmentant fortement la crédibilité et la valeur de votre site aux yeux des moteurs.
  • Principe : quantité > qualité ! 100 liens venant de domaines différents avec un score de base (DA > 1) ont un effet bien plus grand qu’un seul lien provenant d’un site très autoritaire (DA supérieur à 30). Ne payez jamais pour acheter des liens de haute autorité, leur effet diminue souvent avec un DA très élevé.

Comment obtenir naturellement des liens de haute qualité ?

La clé : créer du contenu précieux qui mérite d’être lié !

Recherche originale / rapports approfondis : Publiez des données de secteur ou des enquêtes utiles.

Guides ou outils autoritaires : Par exemple « Guide complet d’introduction à XX », ou « Outil XX gratuit ».

Infographies : Visualisez des informations complexes pour les rendre faciles à comprendre et à partager.

Opinions / insights uniques : Analyses ou commentaires approfondis sur des événements sectoriels.

Ressources très utiles : Listes de ressources, modèles, collections de cas soigneusement organisés.

Suivi des résultats et amélioration continue

Les moteurs de recherche ont besoin de temps (souvent plusieurs mois) pour découvrir, comprendre, évaluer et faire confiance à votre site.

Pendant ce temps, vous devez apprendre à lire les « données » pour voir ce qui marche bien, ce qui n’a pas d’effet, et ce que vous pouvez améliorer.

Outils d’analyse gratuits essentiels (indispensables pour débutants)

Google Search Console : Retour direct des moteurs (gratuit, à utiliser absolument !)

Valeur clé : Outil officiel ! Comprenez la performance de votre site du point de vue de Google/Baidu.

Données importantes :

Couvrance (index) : Combien de pages de votre site ont été découvertes et jugées indexables par les moteurs ? Combien de pages ont des erreurs (ex. 404) ou des problèmes (à vérifier et corriger) ?

Performance de recherche / analyse (essentiel !) :

  • Mots-clés : Quels termes les utilisateurs ont réellement tapés pour voir votre site ? (Ce sont les mots qui apportent vraiment du trafic, souvent au-delà de votre recherche initiale.)
  • Impressions : Nombre total d’apparitions de votre site dans les résultats de recherche.
  • Clics : Nombre de clics sur votre site après affichage.
  • Taux de clics (CTR) : clics / impressions × 100%. Mesure si vos titres et descriptions attirent. Un CTR faible (ex. <2%) est inefficace même avec un bon classement !
  • Position moyenne : Position moyenne de votre site dans les résultats de recherche.

Liens : Comprenez les liens externes pointant vers votre site (nombre, sources principales) et les liens internes (pour détecter d’éventuels problèmes de structure).

Compatibilité mobile : Google fournit un rapport sur l’ergonomie mobile.

Problèmes de sécurité : Alertes en cas de piratage ou autres problèmes.

Conseil : Connectez-vous chaque semaine ou toutes les deux semaines et vérifiez surtout les sections « performance » et « couverture ».

Google Analytics (GA) : Analyse comportementale des utilisateurs (gratuit, très recommandé !)

Valeur clé : Comprenez en profondeur les visiteurs de votre site et leur comportement.

Vue d’ensemble du trafic :

  • Sessions / utilisateurs : Nombre total de visites / nombre d’utilisateurs uniques.

Sources de trafic :

  • Recherche naturelle : Trafic gratuit provenant des moteurs (objectif principal du SEO).
  • Accès direct : Utilisateurs entrant l’URL directement ou via favoris (indicateur de notoriété).
  • Référents : Clics provenant d’autres sites (mesure du succès des backlinks/partenariats).
  • Réseaux sociaux : Trafic provenant des plateformes sociales (efficacité de la promotion sociale).

Appareils : Part de PC, smartphones, tablettes.

Comportement des utilisateurs :

  • Pages vues : Nombre total de pages consultées.
  • Durée moyenne des sessions : Temps moyen passé sur le site par visite. Plus c’est long, plus le contenu est engageant.

Taux de rebond (indicateur important !) : Pourcentage d’utilisateurs qui quittent après avoir vu une seule page. Un taux élevé (ex. >70%, selon secteur et type de page) peut signifier :

Contenu non adapté à l’intention de recherche (titre accrocheur trompeur).

Expérience de page médiocre (chargement lent, mise en page désordonnée, non adaptée aux mobiles).

Contenu de faible qualité / ne répond pas aux besoins.

Carte de chaleur (certains outils la fournissent ou nécessitent un plugin supplémentaire) : Affiche les zones sur lesquelles les utilisateurs ont cliqué/défilé, permettant de comprendre intuitivement les points d’intérêt des utilisateurs.

Effet du contenu :

  • Pages populaires : Quelles pages ont le plus de visites ?
  • Pages d’atterrissage : Quelles pages les utilisateurs visitent-ils en premier sur votre site ?

Conseils d’action : Vérifiez au moins une fois par semaine. Analysez en combinant les données des plateformes de recherche (par exemple : beaucoup d’impressions mais peu de clics peut indiquer un problème de titre ; beaucoup de clics mais un taux de rebond élevé peut indiquer un problème de contenu).

Interprétation des indicateurs clés et diagnostic des problèmes

Tendance générale du trafic :

  • Objectif : Le trafic naturel provenant de la recherche augmente-t-il stablement (même lentement) ?
  • Comment vérifier : Dans Baidu Analytics/GA, sélectionnez une période suffisamment longue (par exemple 3 ou 6 mois) et observez la courbe du trafic naturel. Concentrez-vous sur la tendance plutôt que sur les fluctuations journalières !
  • Problème : Le trafic ne croît pas ou diminue ? Possibilités : problème de stratégie de mots-clés, contenu de faible qualité ou non mis à jour, problèmes techniques (chargement lent, non adapté au mobile), mise à jour de l’algorithme, concurrence plus forte, etc. Analyse approfondie nécessaire avec d’autres données.

Performance des mots-clés :

  • Classement des mots-clés ciblés : Le classement de vos mots-clés prioritaires s’améliore-t-il ? (Vous pouvez vérifier manuellement dans les moteurs de recherche ou via certains outils gratuits / tableaux de bord).
  • Mots-clés générant du trafic réel : (voir plateforme de recherche) Y a-t-il des mots-clés inattendus mais précieux pour vous ? Le trafic est-il élevé ?
  • Taux de clics (CTR) : Pour les mots-clés bien positionnés (par exemple dans les 30 premiers) mais avec un faible taux de clics, vérifiez les titres (Title) et meta descriptions : Sont-ils attractifs ? Reflètent-ils bien le contenu ? Contiennent-ils les mots-clés ? Optimiser les titres et descriptions est un moyen peu coûteux et efficace d’augmenter le CTR !

Performance des pages :

Pages à fort trafic : Quelles sont les « pages phares » du site ? Analysez leurs raisons de succès (quels besoins satisfont-elles ? Quels mots-clés utilisent-elles ?), peut-on les développer en séries de contenu ? Ou renforcer les liens internes pour guider les utilisateurs ?

Pages avec taux de rebond élevé : À vérifier en priorité !

  • Correspondance d’intention : Le contenu de la page correspond-il réellement à l’intention de recherche des utilisateurs ?
  • Expérience utilisateur : La page se charge-t-elle rapidement ? La mise en page est-elle claire et facile à lire ? Le début du contenu capte-t-il l’attention ? (Le premier paragraphe est crucial !) La page est-elle mobile-friendly ?
  • Qualité du contenu : Offre-t-elle une valeur unique ? Les informations sont-elles claires et précises ?
  • Conception des appels à l’action : Y a-t-il des liens internes clairs pour inciter les utilisateurs à approfondir le sujet ?

Pages de qualité avec faible trafic/classement : Pourquoi certains contenus bien réalisés sont-ils peu visités ? La concurrence est-elle trop forte ? Le volume de recherche est-il faible ? Manque-t-il de liens internes ou externes ? Le contenu a-t-il été suffisamment promu après publication ?

Problèmes d’indexation (rapport de couverture) :

  • « Soumis mais non indexé » / « Non soumis » / « Exclu » : Le nombre est-il important ? Quelles sont les causes (pages de faible qualité, contenu dupliqué, obstacles au crawl) ? Faut-il optimiser la qualité, résoudre des problèmes techniques, supprimer les pages de faible qualité ou utiliser des balises canoniques ?
  • Erreurs 404 : Corrigez les liens cassés ! Assurez-vous que les pages importantes (surtout celles avec des liens externes) ne génèrent pas de 404. Utilisez des redirections 301 pour les pages supprimées ou déplacées vers des pages pertinentes.

Guide d’action basé sur les données

Optimiser les contenus existants :

Augmenter le CTR des pages à faible taux de clic : Réécrire les titres et meta descriptions pour qu’ils soient plus attractifs et intègrent bien les mots-clés.

Améliorer les pages à fort taux de rebond :

  • Renforcer le début : un paragraphe d’ouverture clair et valorisant.
  • Améliorer la lisibilité : appliquer les bonnes structures et techniques linguistiques.
  • Adapter le contenu à l’intention : répondre complètement aux questions liées aux mots-clés ciblés.
  • Renforcer les liens internes : ajouter des liens vers des contenus connexes.
  • Mettre à jour les informations : actualiser les données et cas d’étude si obsolètes.

Donner un coup de pouce aux bons contenus à faible trafic :

  • Augmenter les recommandations internes (modifier d’autres pages à fort trafic pour y ajouter des liens vers ces contenus).
  • Revoir les mots-clés cibles, envisager des termes moins concurrentiels.
  • Partager à nouveau sur les réseaux sociaux ou communautés pertinentes, en mettant en avant la valeur ajoutée.

Créer de nouveaux contenus :

  • Se concentrer sur les mots-clés à fort potentiel et trafic réel découverts via les plateformes de recherche (volumes corrects, forte pertinence).
  • Combler les lacunes de contenu en répondant aux besoins non satisfaits (à partir de plateformes Q&A, retours utilisateurs, tendances sectorielles).
  • Focaliser sur les mots-clés de longue traîne avec une intention claire.

Réglages techniques :

  • Corriger les erreurs de couverture : redirections 404 ou suppression ; corriger les erreurs serveur (5xx) ; traiter les contenus dupliqués ou de faible qualité.
  • Améliorer la vitesse : tester à nouveau les pages lentes (PageSpeed Insights, test Baidu), optimiser selon les problèmes (compression d’images, CDN, cache activé).
  • Assurer la compatibilité mobile : tester manuellement les pages à fort taux de rebond sur mobiles, corriger les défauts.
  • Garantir la stabilité HTTPS : surveiller la validité des certificats.

Renforcer la stratégie de promotion :

Construction de liens :

  • Rechercher davantage de liens externes pertinents pour les contenus les plus performants (trafic élevé / haute qualité) (méthodes naturelles de création de liens voir étape 6).
  • Analyser les pages qui obtiennent le plus de liens externes et copier leurs facteurs de succès.

Réseaux sociaux :

  • Analyser quels types de contenu fonctionnent le mieux sur quelles plateformes sociales et investir davantage dans ces dernières.
  • Augmenter la fréquence des interactions, ne pas se limiter à poster des liens.

Revue de la stratégie de mots-clés :

  1. Réviser régulièrement (par exemple trimestriellement) la liste de mots-clés :
  2. Quels mots-clés fonctionnent mal et doivent être remplacés ou abandonnés ?
  3. Y a-t-il de nouveaux termes liés aux tendances ou aux recherches des utilisateurs à intégrer ?
  4. Quels nouveaux mots-clés les concurrents optimisent-ils ?

Commencez votre parcours SEO, travaillez avec constance et attendez la floraison.

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